Les rébellions de l'AFDL, du RCD, du MLC, du RCD/KML et de l'UPC ont bénéficié des interventions des universitaires (organisation vue comme instrument de domination et la violence symbolique indépendante)pour exercer le contrôle sur les territoires occupés afin de les exploiter et de s'y maintenir. Ces violences protestataires ont ainsi connu des mutations notables à savoir : plate-forme, mouvement populaire, composantes, entités et partis politiques. Les méfaits des guerres menées par les rébellions susmentionnées ont influencé négativement la trajectoire ci-après des universitaires : administrateurs des territoires occupés, militants des rébellions, gestionnaires des affaires publiques, candidats aux postes politiques et enfin acteurs politiques transhumants, vagabonds et/ou désengagés.