La question de l'interprétation de la succession dans les textes coraniques.
Djebari Belkacem considère que le partage injuste de l'héritage serait dû à une interprétation inappropriée du terme Dhakar (signifiant sexe masculin, donc un groupe composé d'un ou plusieurs frères et non d'un individu) qui a entrainé une confusion entre un rapport de partage (une double part est prévue pour le sexe masculin) qui désavantage fortement le sexe féminin et une situation de partage qui alloue une part précise à la femme ; et du terme Oualad (signifiant "enfant" interprété par "garçon"), qui oblige la fille à partager la part des enfants avec les oncles en l’absence d’un frère. Ces interprétations désavantagent fortement les filles et les femmes lors des successions. Ainsi un partage injuste, selon l’esprit des textes coraniques, a donc été adopté dans tous les pays musulmans.
Un essai qui plaide pour l'égalité entre les hommes et les femmes dans le partage de l'héritage.
EXTRAIT
L’héritage a connu durant des siècles des interprétations différentes qui n’ont pas abouti à un partage juste comme Allah l’a prescrit dans son livre saint. Pourtant, les versets coraniques sont clairs et non entachés d’erreurs ou de confusion dans lesquels Allah a positionné des garde-fous qui permettent d’éviter des débordements, suite à des interprétations douteuses ou orientées à des fins basées sur des intérêts personnels.
Beaucoup d’esprits n’acceptent pas que la femme obtienne une part égale ou supérieure à celle de l’homme pour des raisons familiales, tribales et bien plus.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Âgé de 68 ans, Djebari Belkacem, après une longue carrière en tant que commissaire aux comptes, a décidé de s'intéresser à l'héritage dans l'Islam. À travers cette réflexion, il vise une relecture des textes coraniques pour aboutir à un partage juste et équitable entre les hommes et les femmes.
Djebari Belkacem considère que le partage injuste de l'héritage serait dû à une interprétation inappropriée du terme Dhakar (signifiant sexe masculin, donc un groupe composé d'un ou plusieurs frères et non d'un individu) qui a entrainé une confusion entre un rapport de partage (une double part est prévue pour le sexe masculin) qui désavantage fortement le sexe féminin et une situation de partage qui alloue une part précise à la femme ; et du terme Oualad (signifiant "enfant" interprété par "garçon"), qui oblige la fille à partager la part des enfants avec les oncles en l’absence d’un frère. Ces interprétations désavantagent fortement les filles et les femmes lors des successions. Ainsi un partage injuste, selon l’esprit des textes coraniques, a donc été adopté dans tous les pays musulmans.
Un essai qui plaide pour l'égalité entre les hommes et les femmes dans le partage de l'héritage.
EXTRAIT
L’héritage a connu durant des siècles des interprétations différentes qui n’ont pas abouti à un partage juste comme Allah l’a prescrit dans son livre saint. Pourtant, les versets coraniques sont clairs et non entachés d’erreurs ou de confusion dans lesquels Allah a positionné des garde-fous qui permettent d’éviter des débordements, suite à des interprétations douteuses ou orientées à des fins basées sur des intérêts personnels.
Beaucoup d’esprits n’acceptent pas que la femme obtienne une part égale ou supérieure à celle de l’homme pour des raisons familiales, tribales et bien plus.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Âgé de 68 ans, Djebari Belkacem, après une longue carrière en tant que commissaire aux comptes, a décidé de s'intéresser à l'héritage dans l'Islam. À travers cette réflexion, il vise une relecture des textes coraniques pour aboutir à un partage juste et équitable entre les hommes et les femmes.