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A chaque évènement qu'un pays traverse, il arrive souvent qu'une réforme politique et économique naisse. D'autres optent pour que l'État reste propriétaire des entreprises moteurs de développement alors que certains accusent cette engagement de l'État et préfère mettre ces entreprises entre les mains des privés. Cette dernière option définit la privatisation. Qu'a-t-elle pu apporter pour ces pays? L'introduction de la privatisation dans un pays se répercute sur la qualité et la répartition des services rendus ainsi que sur le mode de gestion des ressources de l'État que ce soit financières ou…mehr

Produktbeschreibung
A chaque évènement qu'un pays traverse, il arrive souvent qu'une réforme politique et économique naisse. D'autres optent pour que l'État reste propriétaire des entreprises moteurs de développement alors que certains accusent cette engagement de l'État et préfère mettre ces entreprises entre les mains des privés. Cette dernière option définit la privatisation. Qu'a-t-elle pu apporter pour ces pays? L'introduction de la privatisation dans un pays se répercute sur la qualité et la répartition des services rendus ainsi que sur le mode de gestion des ressources de l'État que ce soit financières ou humaines. Mais l'État reste toujours le seul responsable sur le contrôle de la mise en oeuvre de cette transformation à l'aide de différents comités et des études. En cas d'échec, des manifestations populaires peuvent surgir. La décision de privatiser les entreprises publiques n'est pas à prendre à la légère. Elle nécessite des dispositions et des précautions de la part de l'État que de la part des repreneurs. Sinon, l'intention d'appliquer la privatisation pour accélérer le développement transformerait en résultats catastrophiques.
Autorenporträt
Elinah Rakingaharinoro, licenciée en sciences de la Société, Étude en Économie à l¿université d'Antananarivo.