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Le phénomène techno déborde largement le cadre européen et nord-américain d'où il trouve son origine et où il est généralement pensé. Cependant, les études de ce mouvement socio-musical effectuées dans des régions "périphériques" sont quasiment inexistantes. Pour combler cette lacune, la présente recherche offre un panorama ethnographique d'un cas particulier, le phénomène techno en Equateur. Que signifie pour les Équatoriens l'appropriation de ce mouvement dans le contexte de leur société? Il s'agit dans ce cas d'un phénomène urbain qui attire des jeunes de milieux socioéconomiques aisés.…mehr

Produktbeschreibung
Le phénomène techno déborde largement le cadre européen et nord-américain d'où il trouve son origine et où il est généralement pensé. Cependant, les études de ce mouvement socio-musical effectuées dans des régions "périphériques" sont quasiment inexistantes. Pour combler cette lacune, la présente recherche offre un panorama ethnographique d'un cas particulier, le phénomène techno en Equateur. Que signifie pour les Équatoriens l'appropriation de ce mouvement dans le contexte de leur société? Il s'agit dans ce cas d'un phénomène urbain qui attire des jeunes de milieux socioéconomiques aisés. L'influence des modèles européen et nord-américain, des résidents étrangers ou de touristes dans l'émergence et le développement du phénomène techno équatorien est fondamentale. Les adeptes de techno se réfèrent particulièrement à la culture européenne/nord-américaine, mais, dans le même temps, la fête techno, rituel de fin de semaine, les ancre dans le local. En s'efforçant de comprendre l'impact de ce phénomène sur l'identité de ces jeunes latinos, cette recherche contribue à la connaissance des processus de réappropriation socioculturelle dans un contexte de globalisation.
Autorenporträt
Jérémie Voirol est doctorant en anthropologie à l''Université de Lausanne. Il a obtenu une licence ès Lettres et Sciences Humaines à l''Université de Neuchâtel et un master en anthropologie sociale à l''École des Hautes Études en Sciences Sociales (Paris).