Constats sociaux, c’est un titre peut-être un peu rebutant mais en fait, ça vient parler d’amour, d’amour nécessaire, incontournable comme l’oxygène que l’on respire et l’eau que l’on boit. C’est la clé de toutes nos réussites.
Ce livre relate une réflexion critique sur l’observation de cette lente déshumanisation dans le système de santé, y ayant œuvré pendant quarante années, de même que dans le système d’éducation et de multiples gérances où les ressources matérielles et financières ont lourdement pris le dessus sur les ressources humaines au point de presque les étouffer. Ce constat a été mis en pleine lumière lors de cet immense point d’orgue vécu récemment, la pandémie et son énorme besoin d’humains pour y travailler en collaboration et en empathie.
Le temps est venu de réhabiliter l’humain, le remettre au centre des choses pour de vrai, et, pour ce faire, il faudra accepter d’y injecter une dose massive d’AMOUR et de compréhension des besoins fondamentaux pour réussir à y répondre. Cela commence par l’amour de soi qui appelle à l’amour de l’autre pour collectivement s’en sortir. L’argent doit cesser d’être une fin et devenir ce qu’il aurait toujours dû être, un moyen humanisant. Ça se veut un appel vibrant vers la connaissance de soi.
Cessons d'être des code-barres.
À PROPOS DE L'AUTEURE
Médaillée du Lieutenant Gouverneur, détentrice d’un doctorat en médecine et d’un certificat de spécialiste en ophtalmologie, Jacqueline Carignan a senti le besoin, en cours de parcours, de se tourner vers une formation de connaissance de soi. Elle a ainsi obtenu un diplôme de thérapeute en relation d’aide, diplôme suivi d’un deuxième cycle en thérapie transpersonnelle à l’IRETT en France.
Elle a été activement présente aux activités hospitalières de son centre où elle a tenu entre autre, le poste de présidente du CMDP et pris part aux multiples comités. Elle a été superviseure auprès d’étudiants en médecine à l’Université Laval. Son travail l’a amenée à sillonner le Québec pour faire du remplacement et à participer à des missions humanitaires internationales avec Terre sans frontières et Rotary international.
Maintenant retraitée, son besoin de relations humaines et de demeurer utile sont toujours aussi importants. Pas question de retraiter de la vie.
Ce livre relate une réflexion critique sur l’observation de cette lente déshumanisation dans le système de santé, y ayant œuvré pendant quarante années, de même que dans le système d’éducation et de multiples gérances où les ressources matérielles et financières ont lourdement pris le dessus sur les ressources humaines au point de presque les étouffer. Ce constat a été mis en pleine lumière lors de cet immense point d’orgue vécu récemment, la pandémie et son énorme besoin d’humains pour y travailler en collaboration et en empathie.
Le temps est venu de réhabiliter l’humain, le remettre au centre des choses pour de vrai, et, pour ce faire, il faudra accepter d’y injecter une dose massive d’AMOUR et de compréhension des besoins fondamentaux pour réussir à y répondre. Cela commence par l’amour de soi qui appelle à l’amour de l’autre pour collectivement s’en sortir. L’argent doit cesser d’être une fin et devenir ce qu’il aurait toujours dû être, un moyen humanisant. Ça se veut un appel vibrant vers la connaissance de soi.
Cessons d'être des code-barres.
À PROPOS DE L'AUTEURE
Médaillée du Lieutenant Gouverneur, détentrice d’un doctorat en médecine et d’un certificat de spécialiste en ophtalmologie, Jacqueline Carignan a senti le besoin, en cours de parcours, de se tourner vers une formation de connaissance de soi. Elle a ainsi obtenu un diplôme de thérapeute en relation d’aide, diplôme suivi d’un deuxième cycle en thérapie transpersonnelle à l’IRETT en France.
Elle a été activement présente aux activités hospitalières de son centre où elle a tenu entre autre, le poste de présidente du CMDP et pris part aux multiples comités. Elle a été superviseure auprès d’étudiants en médecine à l’Université Laval. Son travail l’a amenée à sillonner le Québec pour faire du remplacement et à participer à des missions humanitaires internationales avec Terre sans frontières et Rotary international.
Maintenant retraitée, son besoin de relations humaines et de demeurer utile sont toujours aussi importants. Pas question de retraiter de la vie.