Valbert de Crécy, riche financier, respire enfin le doux air de juillet après six mois passés en prison.
Pourtant, issu d’une bonne famille et respecté professionnellement, Valbert n’a pas vraiment le profil du délinquant véreux... Comment en est-il arrivé là ? Quels événements ont provoqué l’inexorable descente aux enfers de cet homme jusqu’ici plutôt gâté par l’existence ? C’est ce que l’intrique passionnante de Dog Brother propose au lecteur de découvrir, au rythme trépidant des rebondissements et renversements de situation qui ponctuent ce roman dans lequel deux univers que tout oppose entrent en collision : celui de deux marginaux laissés pour compte et celui de notre riche trader... Un choc des cultures d’une sincérité foudroyante où se mêlent espionnage, manipulation, coup de théâtre démontrant ainsi que les apparences sont souvent trompeuses.
Une intrigue haletante et un regard sans concessions sur notre société composent ce roman pour le moins addictif !
EXTRAIT
Entrer dans l’Histoire comme dernier détenu libéré de la prison toulousaine, la belle affaire ! Ça n’effacera jamais l’avanie de six mois d’incarcération.
Valbert avait récupéré son stylo-plume Montblanc et mis sa Rolex au poignet, le regard méprisant à l’endroit du gardien. Depuis le temps, ces vulgarités
répétées auraient dû le blaser, mais c’était sans compter sur la fierté et l’attachement viscéral des De Crécy au code d’honneur. Un attachement dont le zèle ostensible frisait parfois le ridicule. Alors, forcément, surveillants et codétenus s’en donnaient à cœur joie. Combien de fois dut-il se faire violence pour ne pas
leur mettre son poing sur la figure ! Bref, il était temps que ça cesse.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Jean Roncenelle a quitté les terrains de jeux des coteaux du Lyonnais à l’âge de 8 ans pour aller écumer les cours de récréation des collèges tunisiens pendant 6 ans, avant de percer ses boutons de puberté de la seconde à la terminale au lycée Rascol d’Albi.
Les 5 années suivantes, il parcourt les campus universitaires scientifiques Toulousains et Bordelais, avant de rentrer à France Telecom en 1981, entreprise où il travaille encore aujourd’hui...
Pourtant, issu d’une bonne famille et respecté professionnellement, Valbert n’a pas vraiment le profil du délinquant véreux... Comment en est-il arrivé là ? Quels événements ont provoqué l’inexorable descente aux enfers de cet homme jusqu’ici plutôt gâté par l’existence ? C’est ce que l’intrique passionnante de Dog Brother propose au lecteur de découvrir, au rythme trépidant des rebondissements et renversements de situation qui ponctuent ce roman dans lequel deux univers que tout oppose entrent en collision : celui de deux marginaux laissés pour compte et celui de notre riche trader... Un choc des cultures d’une sincérité foudroyante où se mêlent espionnage, manipulation, coup de théâtre démontrant ainsi que les apparences sont souvent trompeuses.
Une intrigue haletante et un regard sans concessions sur notre société composent ce roman pour le moins addictif !
EXTRAIT
Entrer dans l’Histoire comme dernier détenu libéré de la prison toulousaine, la belle affaire ! Ça n’effacera jamais l’avanie de six mois d’incarcération.
Valbert avait récupéré son stylo-plume Montblanc et mis sa Rolex au poignet, le regard méprisant à l’endroit du gardien. Depuis le temps, ces vulgarités
répétées auraient dû le blaser, mais c’était sans compter sur la fierté et l’attachement viscéral des De Crécy au code d’honneur. Un attachement dont le zèle ostensible frisait parfois le ridicule. Alors, forcément, surveillants et codétenus s’en donnaient à cœur joie. Combien de fois dut-il se faire violence pour ne pas
leur mettre son poing sur la figure ! Bref, il était temps que ça cesse.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Jean Roncenelle a quitté les terrains de jeux des coteaux du Lyonnais à l’âge de 8 ans pour aller écumer les cours de récréation des collèges tunisiens pendant 6 ans, avant de percer ses boutons de puberté de la seconde à la terminale au lycée Rascol d’Albi.
Les 5 années suivantes, il parcourt les campus universitaires scientifiques Toulousains et Bordelais, avant de rentrer à France Telecom en 1981, entreprise où il travaille encore aujourd’hui...