32,99 €
inkl. MwSt.
Versandkostenfrei*
Versandfertig in 6-10 Tagen
  • Broschiertes Buch

La libéralisation financière a été longtemps considérée comme le moyen permettant de soutenir la croissance économique dans le monde entier, et ceci à travers le découplage réalisé entre l'épargne nationale et l'investissement national au sein de chaque pays. Toutefois, l'implication de la libéralisation dans l'apparition des problèmes financiers dans les économies libéralisées a mis en doute son utilité. Aujourd'hui, l'objectif des économistes et chercheurs traitant de ce sujet n'est plus de chercher si la libéralisation financière stimule la croissance économique ou pas, mais plutôt de…mehr

Produktbeschreibung
La libéralisation financière a été longtemps considérée comme le moyen permettant de soutenir la croissance économique dans le monde entier, et ceci à travers le découplage réalisé entre l'épargne nationale et l'investissement national au sein de chaque pays. Toutefois, l'implication de la libéralisation dans l'apparition des problèmes financiers dans les économies libéralisées a mis en doute son utilité. Aujourd'hui, l'objectif des économistes et chercheurs traitant de ce sujet n'est plus de chercher si la libéralisation financière stimule la croissance économique ou pas, mais plutôt de déterminer les conditions nécessaires à sa réussite. Certes, théoriquement, la libéralisation financière favorise la croissance économique, mais pourquoi ses effets ne sont pas tangibles en réalité ? Autrement dit, comment peut-on tirer profit de cette politique, sans pour autant subir les risques y inhérents ? Ici survient le rôle des pré-conditions initiales dans la relation 'libéralisation financière-croissance économique'. Cet ouvrage met l'accent sur cet aspect, afin de donner un nouvel éclairage à un sujet considérablement débattu dans la littérature.
Autorenporträt
Doctorant-chercheur à la Faculté des Sciences Économiques et de Gestion de Tunis. Il est membre de l¿unité de recherche International Finance Group-Tunisia depuis Octobre 2006. Ses intérêts de recherche portent principalement sur les aspects sociaux de la mondialisation économique dans les pays en développement.