L'attribution quasi systématique de l'aide à des gouvernements dont la gestion publique demeure inappropriée est souvent présentée comme la cause principale de l'échec des politiques de développement. Dans ces conditions, il apparaît qu'un meilleur contrôle et une coordination plus accentuée de la part des donateurs pour une utilisation des fonds serait à l'origine d'une meilleure gestion des capitaux nécessaire au financement des projets de développement.