La gouvernance demeure un processus qui se convoite, des valeurs et des principes qui s'imposent, des normes et des actes qui se mesurent, un comportement et des pratiques qui se jugent et une politique qui se qualifie de bonne ou de mauvaise, de meilleure ou de pire. Ceci étant, l'allusion pourrait se confirmer par rapport à des explications de nature philosophique ou économique face à l'insouciance des gouvernants et l'ineffectivité aussi bien institutionnelle que juridique autant au niveau national et infranational que supranational. De ce fait, il convient de récupérer la confiance, d'anticiper le changement et de réduire le risque d'être ou d'avoir mal gouverné par rapport à une cartographie géopolitique en transformation et en mutation continues. En revanche, les préoccupations ne cessent d'osciller entre risque de fragilisation de la souveraineté et souci de légitimation de l'ingérence et réduiraient en métaphore la transposabilité de la manière de gouverner. D'où, se poseincontestablement et à jamais la question relative à l'identification des responsabilités, des causes, des facteurs, des effets et de l'impact de la mauvaise gouvernance.
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