Le récit que je vous conte est celui de chaque algérien fier de son passé et qui croit dans un avenir meilleur. Arrezki dans ce roman ne vit pas ses actions mais il les pense. Le A d'Arrezki est comme le el de la langue arabe. Il identifie et rend connu tous inconnus. Il est là pour quelque chose. Arrezki procède par comparaison et analogie. Dans sa vie quotidienne il est l'Arabe, l'indigène, et le berger. Il aime l'architecture coloniale et rêve de visiter la Rome antique. Il est musulman pratiquant et un souffle Payen le parcourt. Son nom le tourmente et sa patrie l'enchante et dans ce tumulte il essai de prendre parti.