Il existe des angélismes notoires, ce que Larousse définit comme : « Désir de pureté extrême et refus d’admettre certaines réalités charnelles, sociales, matérielles » ; ainsi en est-il de la vie des saints, sans doute, des prêtres, même, moniales ayant consacré leur vie à un Être suprême cristallisant tout cet idéal de candeur, chasteté mystique, entièreté. On rencontre de-ci de-là des Sainte-Thérèse, des Saint-François d’Assise, Padre Pio, tutoyant leur ange gardien, laissant pleuvoir pétales de rose à leur mort, à leurs miracles.
L’Angélus, lui-même un dérivé du mot « Ange » semble marquer la vie humaine de son sceau, matin, midi et soir. Et, effectivement, « Angelus Domini nuntiavit Mariæ » (« l’Ange du Seigneur annonça sa conception à Marie ») ramène encore à l’idée de la virginité sacrée.
Même Zola s’y est laissé prendre, en nommant son héroïne « Angélique », d’un livre très pur et de noblesse de l’âme (« Le Rêve ») où l’écrivain abandonne toute velléité naturaliste devant les notions d’adoration et d’extase, et devant l’amour jusqu’au boutisme, à la vie, à la mort…Quand un baiser orne un caveau.
Par ailleurs, nos angélismes de tous les jours, ou bien appartenant aux âmes passionnées voire illusoires, seraient-elles naïves, peuvent signer aussi, parapher au fer rouge moindre tumulte des cœurs éperdus et entraîner à leur suite tout un cortège angélique, d’armées célestes, possiblement envieuses et amoureuses de trajectoires et personnalités humaines…
À PROPOS DE L'AUTEURE
Noëlle Arnoult naît dans le 11ème arrondissement de Paris, dans le Quartier Bellevillois, y vécut la majeure partie de sa vie, puis s’installa à Dijon, en 2015, après quelques années passées à Châtillon-Sur-Seine, en Bourgogne, mais aussi à la campagne, à Chambain, vers les années 2000. De ses ancêtres, grands-pères Lucien Arnoult et Georges Lhuillier, et père, Daniel, elle garde et exacerbe un sang artistique, car ils furent Artistes-Peintres, et toujours, y inclus de nos jours, elle souhaite leur rendre un vibrant hommage, comme les exaucer, car ils disparurent très tôt…
L’Angélus, lui-même un dérivé du mot « Ange » semble marquer la vie humaine de son sceau, matin, midi et soir. Et, effectivement, « Angelus Domini nuntiavit Mariæ » (« l’Ange du Seigneur annonça sa conception à Marie ») ramène encore à l’idée de la virginité sacrée.
Même Zola s’y est laissé prendre, en nommant son héroïne « Angélique », d’un livre très pur et de noblesse de l’âme (« Le Rêve ») où l’écrivain abandonne toute velléité naturaliste devant les notions d’adoration et d’extase, et devant l’amour jusqu’au boutisme, à la vie, à la mort…Quand un baiser orne un caveau.
Par ailleurs, nos angélismes de tous les jours, ou bien appartenant aux âmes passionnées voire illusoires, seraient-elles naïves, peuvent signer aussi, parapher au fer rouge moindre tumulte des cœurs éperdus et entraîner à leur suite tout un cortège angélique, d’armées célestes, possiblement envieuses et amoureuses de trajectoires et personnalités humaines…
À PROPOS DE L'AUTEURE
Noëlle Arnoult naît dans le 11ème arrondissement de Paris, dans le Quartier Bellevillois, y vécut la majeure partie de sa vie, puis s’installa à Dijon, en 2015, après quelques années passées à Châtillon-Sur-Seine, en Bourgogne, mais aussi à la campagne, à Chambain, vers les années 2000. De ses ancêtres, grands-pères Lucien Arnoult et Georges Lhuillier, et père, Daniel, elle garde et exacerbe un sang artistique, car ils furent Artistes-Peintres, et toujours, y inclus de nos jours, elle souhaite leur rendre un vibrant hommage, comme les exaucer, car ils disparurent très tôt…