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A travers cette étude, nous rapportons les résultats de la destruction par radiofréquence dans le traitement des tumeurs hépatiques malignes au service de chirurgie viscérale I de l'HMIMV durant ces 4 dernières années (2004 à 2008), et nous situons ce traitement parmi les autres. Durant la période de l'étude 74 patients ont été hospitalisés au service pour tumeurs hépatiques malignes, dont 34 carcinome hépatocellulaire et 40 porteurs d'une ou plusieurs métastases hépatiques. 26 patients ont été traités par radiofréquence, 30 par chirurgie seul et 18 abstentions thérapeutiques. Chez les…mehr

Produktbeschreibung
A travers cette étude, nous rapportons les résultats de la destruction par radiofréquence dans le traitement des tumeurs hépatiques malignes au service de chirurgie viscérale I de l'HMIMV durant ces 4 dernières années (2004 à 2008), et nous situons ce traitement parmi les autres. Durant la période de l'étude 74 patients ont été hospitalisés au service pour tumeurs hépatiques malignes, dont 34 carcinome hépatocellulaire et 40 porteurs d'une ou plusieurs métastases hépatiques. 26 patients ont été traités par radiofréquence, 30 par chirurgie seul et 18 abstentions thérapeutiques. Chez les patients traités par radiofréquence : 36 lésions ont été détruites par radiofréquence seule, 3lésions par radiofréquence associée à une résection chirurgicale et 4 lésions ont été directement réséquées. Le taux de complication précoce est de 11,5% (1 brulure cutanée, 1 abcès hépatique, 1 épanchement péri hépatique) et à long terme, une récidive in situ a été observée. A travers cette étude nous pouvons conclure que la destruction par radiofréquence semble être la meilleure alternative au traitement des tumeurs malignes non opérables du foie.
Autorenporträt
Jennane selim, né le 9 Octobre 1982 à Rabat, Maroc.