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L'ordonnance N°35/PR/MENSJ du 1er juin 1968 portant protection des biens culturels du Dahomey marquait déjà l'engagement de la République du Bénin à mettre en place les mécanismes juridico-politiques pour garantir à la postérité la richesse, matérielle et immatérielle en tant que fruit de l'héritage des Ainés. Plusieurs initiatives sont en effet prises par l'État et les acteurs culturels pour une meilleure valorisation du patrimoine culturel surtout musical. La loi N°2007-20 du 23 août 2007 portant protection du patrimoine culturel et du patrimoine naturel est une matérialisation contemporaine…mehr

Produktbeschreibung
L'ordonnance N°35/PR/MENSJ du 1er juin 1968 portant protection des biens culturels du Dahomey marquait déjà l'engagement de la République du Bénin à mettre en place les mécanismes juridico-politiques pour garantir à la postérité la richesse, matérielle et immatérielle en tant que fruit de l'héritage des Ainés. Plusieurs initiatives sont en effet prises par l'État et les acteurs culturels pour une meilleure valorisation du patrimoine culturel surtout musical. La loi N°2007-20 du 23 août 2007 portant protection du patrimoine culturel et du patrimoine naturel est une matérialisation contemporaine de cette volonté. Composé d'une cinquantaine d'ethnies, le Bénin regorge d'une multitude de pratiques et de biens culturels au nombre desquels la musique endogène (profane et sacrée) : un riche héritage à la fois physique et immatériel. Face à la mondialisation et à son corollaire de développement effréné des supports musicaux, nombreux sont les rythmes du répertoire musical qui ont eu la chance d'être enregistrés dans les années 60 et 70 et qui n'existent plus sur le marché discographique. Ces pièces musicales sont sérieusement menacées aujourd'hui, d'où l'urgence du présent ouvrage.
Autorenporträt
Administrateur de l'Action Sociale et Culturelle formé à L'INJEPS de l'Université d'Abomey-Calavi en 2002,il est également titulaire d'un Master II en développement option Gestion des Industries Culturelles en 2013 à l'Université Senghor d'Alexandrie (Egypte). Directeur fondateur du CEMAAC, actuellement Directeur de la Culture et du Patrimoine.