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Cet ouvrage donne la vision panoramique de la gestion forestière en République Démocratique du Congo face aux exigences de développement durable et aux enjeux environnementaux de l'heure. En RDC, la forêt occupe une place très prépondérante, tant il est vrai qu'elle est considérée comme la mère nourricière non seulement de la population rurale mais également de celle des agglomérations urbaines. Par sa multifonctionnalité, elle joue différents rôles : économique, social, écologique, esthétique, récréatif, éducatif, médicinal et touristique. Deux questions font l'objet de notre réflexion. La…mehr

Produktbeschreibung
Cet ouvrage donne la vision panoramique de la gestion forestière en République Démocratique du Congo face aux exigences de développement durable et aux enjeux environnementaux de l'heure. En RDC, la forêt occupe une place très prépondérante, tant il est vrai qu'elle est considérée comme la mère nourricière non seulement de la population rurale mais également de celle des agglomérations urbaines. Par sa multifonctionnalité, elle joue différents rôles : économique, social, écologique, esthétique, récréatif, éducatif, médicinal et touristique. Deux questions font l'objet de notre réflexion. La première : l'exploitation des ressources forestières contribue-t-elle au développement durable du pays ? Et la seconde, quel instrument permet une gestion plus durable des forêts. Les communautés riveraines des forêts rencontrent des situations très difficiles et, plus particulièrement, les peuples dits autochtones sont encore discriminés et marginalisés par les grandes sociétés, des exploitants étrangers à leur milieu. Pour comprendre le paradoxe de la pauvreté en milieu forestier, l'auteur décline richesse forestière et protection de l'environnement.
Autorenporträt
Tite Mund-A-Ngaand est licencié en Sciences Economiques, Option: Economie rurale de l'Université de Kinshasa, Assistant à la FASEG de l'Université de Kikwit. Il a Participé  aux études de conflits fonciers des maraîchers dans la ville de Kikwit pour le compte de  l'Institut de Politique et de Gestion du développement  (IOB) de la Belgique en 2009.