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L hypothèse selon laquelle l agent de l encéphalopathie spongiforme bovine (ESB), plus connue sous le nom de "maladie de la vache folle", est responsable du nouveau variant de la maladie de Creutzfeldt-Jakob (nvMCJ) chez l homme est, par consensus, admise. Des cas d ESB et du nvMCJ ont été signalés pour la première fois au Royaume-Uni, respectivement en 1986 et en 1996. Depuis lors, le Royaume-Uni a enregistré le plus grand nombre de cas d ESB et de nvMCJ. Dans les années qui suivirent, des cas d ESB et de nvMCJ ont été signalés dans d autres pays, notamment en France. Quelle fut l ampleur de…mehr

Produktbeschreibung
L hypothèse selon laquelle l agent de l encéphalopathie spongiforme bovine (ESB), plus connue sous le nom de "maladie de la vache folle", est responsable du nouveau variant de la maladie de Creutzfeldt-Jakob (nvMCJ) chez l homme est, par consensus, admise. Des cas d ESB et du nvMCJ ont été signalés pour la première fois au Royaume-Uni, respectivement en 1986 et en 1996. Depuis lors, le Royaume-Uni a enregistré le plus grand nombre de cas d ESB et de nvMCJ. Dans les années qui suivirent, des cas d ESB et de nvMCJ ont été signalés dans d autres pays, notamment en France. Quelle fut l ampleur de l épidémie d ESB en France? Quelles mesures de lutte contre l ESB furent efficaces ? Peut-on désormais assouplir le système de surveillance de l ESB? Cet ouvrage cherche à répondre à ces questions. J y expose en détail la méthode du rétrocalcul, modèle mathématique que j ai utilisé et adapté pour reconstruire l épidémie d ESB en France. Puis je consacre un chapitre à l émergence et la diffusion de l ESB, ses conséquences pour l homme et l épidémie d ESB en France. Je présente enfin mes travaux qui ont permis d apporter des éléments de réponse aux questions énoncées ci-dessus.
Autorenporträt
Virginie Supervie, docteur en biomathématiques, études debiomathématiques et biostatistiques à l'Université Pierre etMarie Curie, chercheur au sein de l'unité INSERM d'épidémiologie,stratégies thérapeutiques et virologie cliniques dans l'infectionà VIH, Paris.